02/06/2020

Petit Edit sur les Culottes Menstruelles

Un petit post tout court pour faire non pas un bilan mais plutôt une mise au point avant l'achat de ces fameuses culottes menstruelles ! Attention, je ne reviens pas sur mon précédent post, bien au contraire, mais après avoir discutée à ce sujet avec 2 amies, je pense que ce nouvel échange est nécessaire.
Avant de vous lancer dans la phase "achat", il est important d'étudier votre flux : me concernant en avril dernier, mon flux était très léger et mon cycle a duré 6 jours : avant de les avoir et pendant une semaine environ, j'ai eu des douleurs de règles assez intenses mais elles ne venaient pas. En mai, aucune douleur et je me suis aperçue que je les avais en allant faire pipi ! Pendant 2 jours j'ai eu un flux très léger puis cela a augmenté pendant 3 jours pour se tarir petit à petit. Je n'ai constaté aucune douleur, aucun changement émotionnel (ce fameux SPM), aucune crise de fringales : mes règles sont parties comme elles sont arrivées...sans bruit.


On en arrive à mes culottes menstruelles : j'étais tellement pressée d'essayer que la première que j'ai achetée (au Monoprix des Halles), j'ai plus focalisée sur la taille de la culotte que sur le flux !

 Sur le site de Modibodi, où tout est très bien expliqué, j'ai pris par la suite 2 culottes plutôt jolies esthétiquement parlant avec 2 flux différents : "light moderate" qui correspond à 2 tampons et "heavy overnight" qui est l'équivalent de 4 tampons. Mes règles ont beau être plus ou moins régulières, mon flux lui ne l'est pas : il vit clairement sa vie ! Lors de mes dernières règles mon flux était clairement plus abondant que le mois précédent et je me suis aperçue que j'aurais bien eu besoin d'1 ou de 2 culottes "heavy overnight" supplémentaires. Pour pallier à ce manque, j'ai dû mettre à nouveau des serviettes hygiéniques. Je vous rappelle que même si les culottes menstruelles peuvent être lavées à la machine, il est fortement déconseillé de les faire sécher au sèche-linge ! Le temps de "séchage" peut être assez long d'où le fait d'être suffisamment équipée en nombre si vous voulez ne porter que des culottes menstruelles. 

Pour les marques je recommande à 1000% Modibodi (surtout pour les flux abondants et aussi pour le choix de culottes) et en second choix, la marque Blooming Rocks

Pour les prix ils sont assez similaires (culottes autour de 30€ sachant qu'en moyenne une femme dépense près de 20K€ en serviettes hygiéniques et tampons durant sa vie, source issue du Huffington Post UK, inutile de faire le compte, non ?). On peut également, sans entrer dans les détails, évoquer l'impact écologique lié aux serviettes périodiques et tampons utilisés et jetés... 
Dernier bon point : la livraison qui se fait assez rapidement ! 
 Voilà je pense n'avoir rien oublié ! & Vive nos règles ! 
Ah si où moment où je couche ces dernières lignes, je tenais à vous dire que j'ai commandé il y a 2 jours,  mes 2 culottes supplémentaires chez Modibodi :)


Xoxo


09/05/2020

Tu fais quoi à partir du 11 mai ?

Alors je ne sais pas pour vous mais pour moi le 11 mai ne va rien changer ! Je m'explique : le confinement va être levé certes, des commerces vont réouvrir certes, les gens vont recommencer à sortir à nouveau mais qu'en est-il de la pandémie ? J'habite en Ile de France où le virus est Loin d'être éradiqué. J'ai parmi mes proches une infirmière qui est confrontée jour après jour au Covid depuis près de 2 mois et je n'ai vraiment pas envie de vivre ce qu'elle vit au quotidien.

Mes enfants vont-ils retourner à la crèche et à l'école ? Non. il s'agit d'une décision commune que nous avons pris avec l'Amoureux. Quand le gouvernement a annoncé la date du 11 mai comme étant la fin du confinement, j'ai eu quelques jours plus tard une réunion de travail avec mon équipe dont mon supérieur hiérarchique. Ce dernier a demandé aux parents quelles étaient leurs positions, leurs décisions : j'ai très vite pris la parole en indiquant ma position. Alors oui j'ai de la chance d'être dans une entreprise qui avant l'annonce du confinement avait décidé dé "tester", pour 'l'intégralité du personnel, le télétravail en faisant en sorte que chacun de ses collaborateurs ait l'équipement nécessaire. J'ai également de la chance que mon employeur n'envisage pas un retour dans les locaux avant au moins cet été (sachant que l'établissement est fermé au moins d'août). Je reconnais également ma chance d'avoir mon compagnon à mes côtés (pour le moment) pour gérer le télétravail, l'école à la maison, babyboy number 2 et tout le reste. 

Chez nous, rien ne va changer à compter du 11 mai excepté que l'on va rentrer à la maison tous les 4 le 12 mai après 2 mois passé en famille. On va petit à petit reprendre nos habitudes à 4, tranquillement. Pour cela, on anticipe : on a déjà fait une partie de nos courses (avec un masque bien entendu) et l'autre partie des courses nous sera livrée par La belle vie (meilleure découverte du confinement, lol !).

On a su que certains restaurants allaient réouvrir donc de temps en temps on ira commander des plats pour les soutenir mais en aucun cas nous allons changer nos habitudes à savoir aller se balader, prendre les transports, se poser au parc… On va maintenir cette nouvelle routine installée depuis 2 mois déjà. On a réussit à faire en sorte que les kids ne réclament pas de sortir et on va continuer ainsi. On va continuer les activités telles que le dessin, le coloriage, la peinture, visionner des reportages animaliers, regarder des classiques sur Disney+ en plus des devoirs fournis par la maîtresse. On va faire des gâteaux, on va jouer à la console (pas trop quand même), on va se remettre à la lecture (surtout pour moi) et on va continuer à profiter de cette parenthèse inattendue et de continuer à kiffer d'être ensemble H24 !

Alors quand je vois des gens se frotter les mains à l'approche du 11 mai et commencer à faire des plans sur la comète… Je suis assez perplexe. Quand je vois les actions faites par la RATP, SNCF, certains magasins, je ne me dis pas "Chouette vivement le 11" ! Je ne vire pas non plus dans la paranoïa mais je préfère rester prudente pour mes enfants, mes proches et moi-même. Un membre de ma famille a attrapé le COVID et Dieu merci (ainsi que ses médecins), il s'en est sorti. Pourtant près d'1 mois après l'avoir attrapé il n'est toujours pas au meilleur de sa forme. 

D'une certaine façon, je me dis que plutôt de s'abattre sur son sort, mieux vaut accepter cette situation et en faire quelque chose de positif. C'est ma façon de voir et de penser. Je peux penser ainsi car je n'ai pas une situation familiale difficile : je vis avec le père de mes enfants, j'ai un travail, lui aussi, nos enfants sont en bonne santé et nous aussi. Je pense à une de mes amies proches qui a passé les 2 mois de confinement seule avec ses jumelles (car séparé du père et ce dernier ne vit plus en région parisienne), je pense à ces mamans solo, à celles qui souffrent de violences, à ces enfants maltraités, à ces jeunes dans la rue, à ces familles aux revenus précaires...Et je me dis que je n'ai absolument pas  le droit de me plaindre : j'ai le droit d'avoir une baisse de forme, certes mais c'est tout.

Donc le 11 mai, on va sûrement commander des pizzas  que l'on va savourer devant un film familial, kiffer d'être ensemble et remercier l'Univers de nous avoir réunit tous ensemble pendant 2 mois !

Xoxo



07/05/2020

Liseuse ou bouquins papier ? Dans quelle team êtes-vous ?

Aussi longtemps que je me souvienne j'ai toujours aimé lire ! Je me rappelle étant petite nos allées à la bibliothèque avec ma maman et ma sœur ainsi que les vendredis en fin de journée où nous allions faire les courses de la semaine et maman nous déposait dans l'allée des livres afin de choisir celui de la semaine : c'est ainsi que j'ai agrandit ma collection de Bibliothèque Rose et Bibliothèque verte entre autre. Les années passant, j'ai continué à lire et à aimer lire (de tout car j'ai des goûts assez hétéroclites) au point que j'ai passé aisément le relais à notre aîné et qu'on commence doucement avec Babyboy number 2. 

L'écoute des podcasts et ce soudain intérêt pour cette autre façon de s'informer, d'apprendre ou de se détendre m'a détournée pendant un certain temps de mes bouquins mais j'ai assez vite repris mon rythme. Je lis facilement dans les transports, sur mes pauses déjeuners (quand je ne vais pas à la salle de sport et que j'ai besoin de m'isoler), à la maison (quand les enfants me le permettent). 

Depuis quelques années, j'essaie de m'orienter vers les bibliothèques car il ne faut pas se mentir avec l'Amoureux on a des cartons entiers de bouquins ! J'ai de la chance de partager la vie de quelqu'un qui aime autant lire que moi ! Mais tout cela encombre ! Donc à moins d'avoir un méga coup de cœur, dorénavant j'emprunte notamment au travail ou un de mes collègues,féru de lecture et en charge de la bibliothèque, me fait souvent découvrir de jolies pépites. 

Et si vous me croisez dans la rue, ou le métro, vous me verrez toujours avec mon sac à main et un totebag, contenant des bouquins. 

J'aime également les ambiances des librairies où je peux passer facilement des heures à déambuler entre les tables (un exercice assez compliqué à faire quand vous êtes avec vos enfants...)


Dernièrement je discutais avec une de mes amies qui s'était décidée, pour des raisons pratiques, entre autres,  à investir dans une liseuse et à s'inscrire également à Audible, le leader du livre audio. Elisa, mon amie, a tenté par le biais de 2 posts qu'elle a rédigée (que vous trouverez ici & ) de me convaincre de céder… A t-elle réussit ? C'est un peu la raison pour laquelle vous lisez ces quelques mots...

Mais revenons à la genèse de ce post : il y a de ça quelques jours sur Twitter, une copine partageait la couverture d'un roman qui parlait de la jeunesse coréenne. Etant fan de dramas depuis quasiment 2 ans, je m'intéresse de plus en plus à ce qui touche à l'Asie. Je l'ai donc remerciée pour cette découverte et j'allais m'empresser de chercher ce roman afin de me l'offrir… Mais je me suis pris un super STOP : ce superbe roman n'existe pour le moment qu'en version ebook ! Et cette copine, persuadée que j'avais une liseuse, était prête à me l'envoyer ! Premier signe, non ? Par la suite j'ai donc discuté avec Elisa, qui ne cessait de me vanter les mérites de sa liseuse… On dit souvent que le hasard n'existe pas...

Bref j'ai commencé à me poser la question de m'offrir ou pas une liseuse. Toutefois des interrogations subsistent :  vais-je apprécier cette nouvelle façon de lire, moi qui aime surligner, annoter, corner les pages...
Vais-je me sentir frustrée de ne pas avoir à tourner ces fameuses pages, sentir ces pages ? Et comment faire pour prêter mes bouquins ? Oui c'est aussi une chose que j'aime faire : prêter mes coups de cœur. 


D'un autre côté, quand je me ballade avec un ou deux bouquins (oui j'ai cette faculté de pouvoir lire plusieurs livres en même temps), j'ai souvent mal aux épaules tant ils pèsent (oui car en plus je ne suis pas spécialement addict aux livres de poche). Une liseuse est beaucoup plus légère en terme de poids et je crois savoir qu'elle peut contenir plusieurs ouvrages. Plus je couche ces mots plus je me demande comment cela se fait-il que je n'ai pas succombée plus tôt...

Une chose aussi que j'ai zappée : je suis insomniaque et je n'aime pas sortir de mon lit, donc je me cache sous la couette pour ne pas gêner l'amoureux avec mon smartphone...Une liseuse serait donc parfaite dans ce cas, non ? J'ai également cru comprendre que la lumière des liseuses n'est pas la même que celle de nos smartphones et qu'elle est donc moins néfaste ! Good Point again !

En faisant quelques recherches et grâce à mon amie Elisa, j'ai appris que l'on avait accès au dictionnaire (et ça c'est plutôt cool)  et qu'on pouvait surligner des passages ! Autant dire que ça y est je suis perdue ! L'idée aussi de "sauver" la planète en évitant d'acheter trop de bouquins (donc papiers et donc arbres) est également un argument qui a du poids. Je pense que ma décision est prise mais je vais me laisser le temps de choisir un modèle qui me convient : Kindle ? Kobo ? Taille d'écran ? Nombre de gigas... Me connaissant ce n'est pas gagné ! lol !

En fin de compte, les liseuses ou Kobo restent un bon moyen de consommer de la lecture autrement mais je resterai une inconditionnelle du papier ce qui veut dire que ma future liseuse (car oui j'en aurai une prochainement) ne m'empêchera pas de continuer à flâner dans mes librairies préférées mais je le ferai moins souvent...

Xoxo


28/04/2020

Vis ma vie sans soutif

Depuis le début du confinement, je vis sans soutien gorge ! J'ai déjà adopté le "No Bra" depuis quelques mois : les jours où je ne travaille pas soit le mercredi et les week-ends. Je ne porte rien même si je dois sortir. Je mets des débardeurs assez près du corps sous mes chemises, sweats, pulls, et si éventuellement je suis amenée à donner le sein à Babyboy number 2. 

Comment décrire en peu de mots ce sentiment de liberté ! Franchement l'une des premières choses que j'enlève quand je rentre chez moi c'est mon Soutien-gorge !!!! Je pense que c'est le cas pour beaucoup d'entre nous ! On est entravé toute la journée dans un truc qui compresse nos nénés aussi joli soit-il ! 


Quand j'étais plus jeune, j'étais la dernière parmi mes amies à porter un soutien-gorge et malgré mon côté "garçon manqué", j'avais vraiment hâte ! J'ai eu de la poitrine assez tard (enfin selon mon moi de 13-14 ans au point que je mettais des chaussettes sous mes brassières, oui, oui) et je fantasmais littéralement sur les soutien-gorge de ma maman ou ceux que je voyais dans les catalogues de prêt à porter que ma maman recevait et me laissait feuilleter. 

Bien des années plus tard, je me rends compte à quel point on est conditionnée dès notre plus jeune âge ! Aujourd'hui la femme que je suis souhaiterait pouvoir ne plus porter de soutien du tout. Alors que ça fait des années que je ne me suis pas offert de lingerie, dernièrement, j'ai fait une petite sélection de brassières ou bralette sur le site de Oysho, de H&M et sur SKIMS. Je me tâte encore donc je les laisse pour le moment dans un joli panier virtuel...

Pourquoi des brassières ? Autant pendant que je suis confinée en famille, je me moque royalement que mes seins vivent leur vie…Autant je pense au "après".
Je dois faire du 90C ou D (pas sûre de ma taille d'ailleurs je vais m'empresser de la faire vérifier une fois que la situation du COVID sera maîtrisée) et vu que j'aime porter des décolletés… Je n'ai donc pas envie de provoquer des situations dans lesquelles je ne serai pas à l'aise d'où ma recherche de brassière.
Comme me le disait ma sœur, sans soutien-gorge mes tétons sont apparents… Je n'ai pas envie d'attirer des regards malaisants !

Quels sont donc les bénéfices à ne plus porter de soutien-gorge ? Je me suis penchée sur la question à travers divers articles et voici en gros ce qu'il en ressort : 

Le "No Bra" permettrait à nos seins de redevenir plus fermes. Selon un spécialiste, "le soutien-gorge empêche le tissus musculaire de travailler, ce qui accélère le vieillissement du sein. La fermeté et le raffermissement des seins s'améliorent sans soutien-gorge".
De nombreuses femmes ont témoignés que suite à l'arrêt du port de soutien-gorge, leurs problèmes de dos ont disparu comme par enchantement ! 
L'acceptation de soi,
S'affranchir des carcans des standards de beauté,

Personnellement bien que cambrée, je n'ai pas plus que ça de douleurs au dos. La seule et unique raison qui me pousse à me débarrasser de mes soutien-gorge est mon confort. Je reste intimement persuadée qu'en porter est plus néfaste qu'autre chose. J'aimerais pouvoir jouir de ce plaisir sans gêne, en toute liberté sans me soucier d'autrui, du qu'en dira t-on, des probables remarques (que j'attends d'ailleurs de pied ferme).


Xoxo

Bilan de mon rééquilibrage alimentaire

On y est, j'y suis enfin arrivée :  mon rééquilibrage alimentaire est terminé et depuis quelques jours je recommence à manger normalement tout en gardant mes nouveaux automatismes. 

Si vous vous en rappelez, début mars je vous faisait part de mon envie de me retrouver, de prendre à nouveau soin de moi aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur ! J'étais partie d'un constat que j'avais pris trop de poids et que je ne me sentais pas bien dans ma peau. Sur le second post je vous disais que j'étais passée de 72kg à 63kg à fin février. Aujourd'hui je suis à 58kg et je m'arrête là. Je suis en phase de stabilisation. Je n'étais pas à la recherche du "poids parfait", j'avais seulement envie de me sentir bien, de m'affiner, de me muscler et surtout il était important pour moi de garder mes courbes : mes fesses, mes cuisses.

 Je ne vais pas vous mentir : les 2 derniers kilos ont été durs à perdre. J'étais de moins en moins motivée, je me sentais fatiguée et j'appréhendais presque de passer à table. Encore une fois, je suis chanceuse depuis le début d'avoir été entourée dans ma démarche  par mes proches qui ont toujours su trouver les mots qu'il fallait quand je me sentais flancher. Mais cela reste une étape pas facile à franchir ! 
 
Ces photos datent de début octobre : premier workout en famille avec BabyNumber 2 en porte-bébé. J'avais déjà commencé à perdre du poids. La reprise du sport a été particulièrement difficile car ne pas avoir fait de sport pendant quasiment 2 ans et avoir pris autant de poids ne m'a pas aidée du tout ! Les premiers temps en salle, à peine commencé, j'étais déjà essoufflée. J'ai débuté par des séances de cardio de 15mn que j'augmentais au fur et à mesure. Puis petit à petit j'ai ajouté des séances poids de corps en alternance avec le cardio.
A force de discuter avec mon beau-frère, aka mon frère, aka mon coach, aka mon nutritionniste, je me suis rendue compte de pleins de petites choses qu'il fallait que je change dans mon alimentation : tel que l'assimilation de certains plats  qui ne vont pas ensemble car on tendance à stocker donc graisse donc prise de poids, tel que manger tel fruit en pensant qu'il est "sain" et "sans défense", tel qu'apprendre à s'écouter et à écouter sa faim, différencier la faim du plaisir, se désintoxiquer du sucre (et long combat pour moi mais j'en suis consciente)... Mais aussi et surtout Savoir se faire plaisir de temps en temps sans culpabiliser ! Car manger doit rester un plaisir ! 

Si vous me suivez un petit peu sur Instagram, vous avez dû vous apercevoir que je suis assez gourmande, le salé comme le sucré. Cela fait quelques mois déjà que pour le petit déjeuner (ou collation ou dessert) j'ai craqué pour le muesli, granola... J'ai développé avec eux un certain amour fou ! Pas une semaine ne passait sans que j'aille faire mon plein chez Naturalia ! Hé bien après ces quelques mois, j'ai décidé qu'il était temps que je réduise fortement ma consommation si je tenais à maintenir mon poids et ne pas repartir dans des travers m'amenant à prendre plus de 10 kilos ! 

Je vais rester sur les flocons d'avoine (beaucoup moins néfaste et plus sains) que je vais continuer à mixer pour la préparation des pancakes, à l'utiliser dans mes salades (salées), à parsemer sur mes compotes… Je vais également continuer ma cure de Spiruline et me pencher un peu plus sur le Moringa car prendre des compléments alimentaires (quant vous êtes en bonne santé) est une bonne chose  aux vu de leurs propriétés.  

Il en va de même pour les viennoiseries que je mange vraiment de manière très occasionnelle voire exceptionnelle ainsi que le pain que j'ai quasiment supprimé de mon alimentation. Pendant un certain temps, j'avais opté pour le pain de maïs et je me suis finalement rendu compte que le pain ne manquait pas plus que ça.

Suite à ce rééquilibrage alimentaire, j'ai donc complètement révisée ma façon de manger du matin jusqu'au soir. Le matin, je reste  sur une note salé avec un de mes ingrédients préférés : l'œuf. Qu'il soit au plat, à la coque ou dur, il reste une de mes "valeurs sûres" . Je l'accompagne de 2 biscottes et d'un thé vert. Le week-end je fais une petite variante avec un peu de fromage, 1 ou 2 biscottes supplémentaires avec un peu de confiture.

Pour mes déjeuners du midi, rien ne change vraiment à part les quantités que j'ai considérablement baissé. Le soir, sauf de manière exceptionnelle, je privilégie les légumes, et je dîne souvent sans viande. Je privilégie les féculents le midi. Je privilégie certaines huiles tels que celle de sésame ou l'huile de coco, et je ne mets plus d'huile dans ma vinaigrette, uniquement du citron, de l'ail et de la moutarde. Parfois je fais rajoute du gingembre râpé et un peu de sauce soja.

En journée je bois toujours autant de tisanes et d'eau. J'ai recommencé à mangé des oléagineux tels que amandes, noisettes, raisins secs pour une petite collation et j'ai arrêté les gouters que je ne prenais plus par envie de sucre que  par faim. 

Qu'en est-il du week-end ? Souvent je me fais plaisir : tout dépend de l'envie du moment : pizzas, glace, burger... En fait tout est une question d'équilibre. Envie de gâteaux ? Pourquoi pas s'en faire un "home made" et doser les ingrédients différemment, ou remplacer le sucre blanc par du sucre de coco ou du sucre brun, faire un mix farine blanche et maïzena pour une texture plus aérienne, préférer le chocolat noir pâtissier... Je suis sûre que vous trouverez par vous-même moult astuces pour continuer à vous faire plaisir sans culpabilité !

Toutes ces nouvelles habitudes prennent du temps à s'installer donc soyez indulgents avec vous-même tout comme je le suis avec moi et ne vous flagellez pas si parfois vous avez du mal à gérer ou si vous avez une baisse de forme. La clé je pense est de s'écouter, être à l'écoute de son corps. On reste des êtres humains avec des jours avec et des jours sans.

Parallèlement à ce rééquilibrage, j'ai également repris le chemin d'une salle de sport et malgré le fait que l'on soit actuellement confinés, je continue à en faire à la maison, à raison d'une séance tous les 2 jours (en temps normal, ma routine c'est 3 fois au moins par semaine à la salle et le reste à la maison). 
 Tout dépend de ma charge de travail, de mon état de forme. Les résultats ne sont probants que s'ils sont accompagnés d'une bonne hygiène de vie. J'espère et je souhaite continuer dans cette direction, je ne me suis jamais aussi bien dans ma peau. J'aime ces nouvelles habitudes que j'ai prises et manger reste un réel plaisir ! Je ne compte surtout pas m'arrêter de sitôt ! 


Xoxo





22/04/2020

Comment on gère "Confinement", " School at home" à 10 !

Bonne question, non ? Nous sommes à notre 35 ième jour de confinement (à l'heure à laquelle je pose ces quelques mots) avec kids or not. On ne va pas se mentir : il est dur de tout stopper mais clairement on n'a pas le choix. La situation, inédite et exceptionnelle que nous vivons, nous devons la vivre le plus sereinement possible même si c'est plus facile à dire qu'à vivre.

Dans notre cas, nous sommes chanceux car nous vivons ce confinement en famille : 5 enfants pour 5 adultes dont 4 enfants scolarisés, 2 adultes en télétravail (ma sœur et moi), 2 hommes au chômage technique (pour leur plus grand bonheur, lol), un bébé de 17 mois et Mamie.

Grosso merdo on s'organise comment ?

Le matin, petit-déjeuner en famille, puis session Lumni (on l'a fait jusqu'aux vacances scolaires) sur France 4 ensuite on passe aux devoirs transmis par le corps enseignant. L'Homme organise les sessions de travail des enfants et pendant qu'ils font leurs devoirs, ma sœur et moi en profitons pour travailler,  l'Amoureux, lui,  gère Babynumber 2 et cela dure jusqu'à environ 12h. Attention ce schéma est loin d'être figé. On essaie de faire au mieux dans la mesure du possible ! 

Pause déjeuner en famille et détente puis sieste pour  les kids (généralement pour les plus petits, et donc moi aussi le temps que Babyboy number 2 s'endort au sein). L'après-midi, on essaie d'instaurer des plages de détente tels que reportages animaliers sur Netflix ou Disney+ (avec questions à la fin mais en mode cool, histoire d'être sûrs qu'ils ont bien suivi), dessins, coloriage, activités manuelles où on reprend l'école à la maison jusqu'aux environs de 16 heures.

Généralement les papas prennent le relais avec une session de sport, histoire qu'ils se défoulent, étant donné qu'on respecte scrupuleusement les consignes sanitaires. Après c'est temps libre avec jeux, un peu de Netflix où on les laisse s'ennuyer ! 

------------

Me concernant, les premiers jours j'avais tendance à rester en pyjamas, leggings et ou joggings jusqu'au jour où ma sœur a décrété que confinement ou pas, on se devait de continuer à s'habiller sans pour autant s'apprêter des pieds à la tête ! Depuis je me suis fait une routine à laquelle je ne déroge pas : 

* Je me lève entre 7h45 et 8h : créneau susceptible de changer en fonction de mon petit bonhomme (il a tendance à sentir quand je m'éloigne du lit & à me réclamer le sein),
* Passage aux toilettes,
* Douche, brossage de dents, nettoyage visage, 
* Hydratation des pieds à la tête,
* Je m'habille puis je rejoins ceux qui sont déjà levés pour aller prendre mon petit-déjeuner. En ce moment ce dernier se compose d'un thé vert, d'un œuf mollet et de 2 biscottes sans oublier mes comprimés de Spiruline (parfois je rajoute un demi-verre de pamplemousse).

Une fois finit, je vais réveiller mon plus grand afin qu'il prenne son petit-déjeuner et la session "school at home" commence en même temps que le télétravail, pas évident à concilier les 2 mais on se débrouille ! 

L'après-midi, pendant que le petit dort et que les grands vaquent à leurs activités, je continue de travailler (à mon rythme), je surfe sur Internet, j'écris, j'écoute de la musique ou comme la photo ci-dessus, je prends ma dose de vitamine D.

Après c'est à mon tour de faire ma session de sport (avec ma sœur, avec son mari ou à 4 avec nos hommes respectifs) : cette dernière dure entre 30mn et 1h. Cela dépend de la partie du corps que l'on travaille. Suite au confinement, je n'ai pas remis mes pieds dans ma salle de sport (fermée depuis) depuis début mars, il est donc important pour moi de continuer à me maintenir en forme tout en continuant mon rééquilibrage alimentaire. Grâce à l'Homme, j'arrive à maintenir une certaine routine car le but, pendant ce moment où on ne sort pas, est de ne pas prendre de poids. Je vous ferais bientôt un update suite à mon rééquilibrage alimentaire et ma perte de poids. Encore une fois, je mesure ma chance d'être confinée avec un spécialiste sportif, nutrition & Cie ! 

 Généralement après ma séance je suis au bout de ma vie et je profite d'un "Solo Time" comme le dit si bien Dominique de POMELOKIWIE : je m'enferme dans la salle de bain pour une douche, un gommage du corps, un masque sur le visage, parfois j'en profite pour faire un rapide shampoing. Une fois détendue, je me masse des pieds à la tête. Cela dure généralement une vingtaine de minutes et c'est un vrai plaisir ! 
------- Enfin on finit par tous se retrouver afin de dîner ensemble en famille sans télévision allumée et on en profite pour discuter. Au début on profitait de ces moments pour regarder un film familial mais bon la moitié des convives suivaient plus ce qui se passait sur le grand écran que dans les assiettes ! 

Depuis qu'on est confinés, je me couche relativement tôt, non pas pour dormir mais pour essayer de garder la routine dodo de Babyboy number 2. Le plus grand se couche un peu plus tard.
Bon c'est très rare que je me relève une fois les enfants endormis ! J'en profite pour me mettre à jour sur mes séries, dramas, je lis ou je scroll sur Instagram (je sais ce n'est pas bien mais...).

Pour conclure je dirais que dans l'ensemble ça se passe super bien mais comme tout un chacun, il y a des jours avec et des jours sans. Le bruit est omniprésent (5 enfants) et on essaye de trouver des alternatives... Les enfants vont bien et nous aussi (c'est le facteur le plus essentiel). Parfois ça chouine, ça pleure pour rien et on a tendance à oublier que même pour eux la situation est inédite. Ils ont beaux être en famille, leur quotidien est pertubé et perso j'angoisse sur le "après" quand on ve se quitter car là on est H24 ensemble depuis le 13 mars... On sait déjà qu'il y aura des moments pas faciles à l'issue (incertaine, certes) donc quand je pose les yeux sur eux en train de faire les fous, je me dis : "Kiffez mes amours, vivez, riez, sautez, la vie bien que difficile est belle". Et je me dis la même chose.

Xoxo

17/04/2020

SWING TIME de Zadie SMITH

La première fois que j'ai entendu parler de Zadie SMITH c'était dans une rubrique littéraire d'un magazine féminin que je lisais dans une salle d'attente. Ce qui avait retenu mon attention c'était avant tout son afro et le fait qu'elle semblait solaire sur la photo de l'article. Ce dernier parlait de son dernier roman Swing Time. J'ai mis ça dans un coin de ma tête et je me suis dit qu'il fallait que je me penche un peu plus sur la carrière de cette femme.


Zadie SMITH est née d'un père anglais et d'une mère jamaïcaine en 1975 en Angleterre. A l'âge de 14 ans, elle change son prénom Sadie en Zadie. Elle étudie la littérature et officie depuis 2010 à l'université de New York afin d'y enseigner l'écriture de fiction. Elle a également collaboré avec le Harper's Magazine dans la section "critiques littéraires".


Swing Time, le cinquième roman de Zadie SMITH parle de quoi :

Deux petites filles métisses d'un quartier populaire de Londres se rencontrent lors d'un cours de danse. Entre deux entrechats, une relation fusionnelle se noue entre elles. Devant les pas virtuoses de Fred Astaire et de Jeni LeGon sur leur magnétoscope, elles se rêvent danseuses. Tracey est la plus douée, la plus audacieuse mais aussi la plus excessive. Alors quelle intègre une école de danse, la narratrice, elle, poursuit une scolarité classique au lycée puis à l'université, et toutes deux se perdent de vue.
La plus sage devient l'assistante personnelle d'Aimée, une chanteuse mondialement célèbre. Elle parcourt le monde, passe une partie de l'année à New York et participe au projet philanthropique d'Aimée : la construction d'une école pour filles dans un village d'Afrique. Pendant ce temps, la carrière de Tracey démarre, puis stagne, tandis que progresse son instabilité psychologique. Après une série d'événements choquants, les deux amies se retrouveront pour un dernier pas de danse.
 


Bien qu'ayant cherché à en savoir un plus sur Zadie SMITH, je n'ai pas réussi à savoir quelles étaient ses influences. Personnellement pour une première lecture et découverte, son écriture m'a aussi bien fait penser à Chimamanda NGozie Adichie qu'à Toni Morisson, 2 autrices noires incontournables.

Sans pour autant les ressembler, j'ai senti par ses mots, par les sujets abordés, une certaine idée de "déjà vu", ce qui est loin d'être négatif, bien au contraire !

Le parallèle entre ces 2 gamines, s'étant éloignées au fil des années, m'a semblé intéressant même si par moments, j'ai trouvé qu'il y avait certaines longueurs. J'ai particulièrement aimé la première partie du livre où elles sont encore que des enfants : leur amour pour la danse, leur situation familiale, leur rapport par rapport à la féminité, la sexualité, la jalousie qui en émane, la mère de la narratrice ainsi que son évolution en tant que femme, la famille, la situation économique de l'époque, le climat politique...

Une chose est sûre c'est que aussitôt terminée, j'ai eu envie de lire les premiers romans de l'autrice et bien entendu, ils font partie de ma wish-list :)

Xoxo



16/04/2020

Pourquoi j'ai finalement craquée devant Terrace House ?

Je n'ai jamais été fan de télé-réalité. Ok, comme tout le monde j'ai sauté à pieds joints devant Secret Story le 23 juin 2007 car c'était une grande première en France. Mais tout le buzz autour, le côté voyeurisme, la vulgarité, le sexe et Cie m'ont vite lassée et je suis passée à autre chose. Notamment sur la chaîne E où pendant quelques temps j'ai suivi les péripéties de la famille Kardashian (oui j'assume complètement !). Mais depuis un bout de temps déjà, je me suis éloignée de ces programmes qui pour moi ne sont plus en phase avec la personne que je suis devenue. Il faut dire que depuis que nous nous sommes abonnés à Netflix, nous regardons d'une autre façon la télé et surtout nous la regardons uniquement en Replay (Arte, OCS, Canal +) sans oublier Prime. Autant dire que l'on préfère privilégier la qualité de nos programmes d'autant plus que nous avons des enfants. Tout ça pour dire que nous sommes assez sélectifs quand il s'agit de regarder des programmes. 

Mais revenons à Terrace House : cela fait des années que ma sœur m'en parle et qu'elle faisait tout son possible pour que je succombe ! Tout comme les dramas, j'ai résisté pendant très longtemps puis... ça m'est tombée dessus un 24 décembre 2019 quand ma maman et ma sœur ont regardé la 2nde partie de la saison 2019-2020 ! Ne me demandez pas comment mais à partir de ce moment, j'ai repris la 1ière saison sur Netflix (2016) et je n'ai rien regardé d'autre à part Terrace House ! Dès que j'avais un moment de libre, à la salle de sport (oui oui, en pédalant), une fois les enfants couchés, dans mon lit pendant mes insomnies, dans le métro...Bref je suis accro à Terrace House.



Mais avant de savoir comment je suis devenue addict à ce show, comment pouvons-nous définir Terrace House ? 

Il s'agit d'une émission de télé-réalité japonaise où 6 personnes (3 femmes, 3 hommes) avec des modes de vie différentes, de nationalités parfois différentes, doivent apprendre à cohabiter ensemble tout en apprenant à se connaître. Ce n'est absolument pas scénarisé et chacun continue de poursuivre sa vie. Ils ont  accès à une maison ou à un appartement de folie (ça change à chaque saison) ainsi que 2 véhicules. Ils sont filmés 24h sur 24 (quoique pas sûre du tout…) bien qu'il y ait des endroits où ils peuvent ne pas être filmés. Ils peuvent sortir quand ils veulent et rester autant qu'ils le souhaitent :  une semaine, un mois ou toute la saison ! 


Maintenant que je vous savez comment se passe, Terrace House, vous vous demandez comment on peut être accro ?

 L'attrait de la nouveauté, les mentalités différentes, la vision du couple, de la famille, les codes qui diffèrent, la manière de draguer, la gastronomie, les us et coutumes, le fait qu'il n'y ait aucune vulgarité, qu'il y a un profond respect entre les personnes, que les personnes choisies sont souvent très intéressantes dans leurs démarches, dans leur vision de voir la vie, leur vie, de leurs attentes qu'elles soient professionnelles ou personnelles. Le fait aussi d'être dans un univers qui ne nous est pas connu ou similaire à ce que nous vivons en France, par exemple. 

Depuis tout petits, nous baignons dans la culture US depuis des décennies mais qu'en est-il de l'Asie ? Personnellement ce n'est que depuis que je regarde des dramas, que je me surprends à vouloir en apprendre davantage sur leur vison des choses : l'amour, la famille, la place de la femme dans la société... 
J'aime la douceur et la fraîcheur que l'on ressent à les regarder, ce côté parfois "innocent", le fait de prendre son temps quand on est intéressé par une personne, de ne pas brûler les étapes, de prendre le temps de se connaître. 

J'aime également leurs cafés et restos trop cute qui sont vraiment trop instagrammable !  

En fait, Terrace House, c'est un programme rafraîchissant ! Voilà le terme : c'est frais, neuf, c'est doux et on se laisse piéger, attendrir, on s'énerve aussi parfois mais en fin de compte on kiffe sévère ! Même l'Amoureux s'est fait avoir, c'est dire !

Mais ce qui me plaît particulièrement dans Terrace House ce sont les chroniqueurs ! 




 Notamment Yama-Chan, un humoriste japonais tordant sans qui Terrace House ne serait pas Terrace House ! 
 You est hilarante également à sa façon avec la fougue et le franc-parler d'une femme de cinquante ans ! N'oublions pas la douce et prude Reina dont le côté "romantique" est tellement cute ! 
Et peut-on parler du franc-parler de Yoshimi Tokui : ses joutes verbales, ses imitations ! Ne passons surtout pas à côté des chroniqueurs qui valent également le coup ! Quant à Azusa Babazono, je l'a trouve plutôt discrète, par contre quand elle a quelquechose à dire, elle n'y va pas par 4 chemins ! 

Bref à l'heure où je vous écris ces lignes, je n'attends désespérément qu'une chose : que Netflix diffuse enfin la suite de la saison 2019-2020 car la partie 3 m'a laissé quelque peu sur ma faim !!!


Et vous, vous connaissez Terrace House, vous adhérez ou pas ?

Xoxo



14/04/2020

Routine capillaire pour mon aîné avec Activilong

Notre aîné va bientôt sur ses 5 ans et demi et à ce jour nous ne lui avons jamais coupé les cheveux. Tout comme moi, sa maman, il porte ses cheveux naturels (rarement en afro en raison de l'école) mais avec des nattes, des vanilles ou des tresses collées. Son cheveu est légèrement plus crêpu que les miens mais si on observe, à l'œil nu, on décèle tellement de textures (frisés, raides, crépus, souples…) que je ne saurais les "classer" dans une catégorie.  Ceci bien sûr en raison du métissage avec une maman, qui vient de la Guadeloupe (et aux origines diverses de par son papa) et avec un papa d'origine béninoise.

Dès son plus jeune âge et dès qu'il a été en mesure de le comprendre, on a expliqué à notre fils, l'importance de ses cheveux et pourquoi il devait être fier de porter ses cheveux "longs" contrairement aux autres petits garçons noirs de son école. Très vite, on s'est rendu compte qu'il était sensible du cuir chevelu et très vite on a dû adapter des gestes afin que la séance "coiffure" se passe au mieux. Cela passe par les objets utilisés tels que peigne, brosse puis les produits. Pour son cuir chevelu, grâce au conseil d'un ami, on a opté pour un mélange d'huile d'Abyssinie et de glycérine qu'on vaporise régulièrement. Tout comme moi, sa maman, avant son shampoing, on lui applique assez régulièrement un bain d'huile (soit de l'huile de ricin soit celui-ci de chez Activilong)

Voici la brosse qui nous a sauvée la vie & qui a grandement facilité les sessions "coiffage-démêlage"! J'en achète une exemplaire chaque année à la NHA, histoire d'en avoir toujours en RAB tellement elle a réconcilié notre aîné avec la coiffure. On en trouve même une chez Mamie quand les enfants sont en vacances chez elle ! C'est la brosse parfaite pour les cheveux naturels, je l'utilise également pour démêler mes cheveux. Vous la trouverez donc soit à la NHA soit ici soit .


Lors de ma dernière venue à la NHA, comme d'habitude j'ai déambulée de stands en stands afin d'aller voir les marques que je connais et aussi en découvrir de nouvelles. Je suis également passée sur le stand d'Activilong et là j'ai eu droit à une jolie surprise : une valisette comprenant l'intégralité de la gamme ACTIKIDS, leur toute dernière gamme dédiée aux enfants.
La gamme comprend un shampoing, un après-shampoing, un co-wash, un spray démêlant, une baume pour hydrater, un gel. C'est une gamme qui a été conçue pour les enfants à partir de 3 ans & qui est élaborée à partir de beurre de mangue et d'huile d'amande Bio. Et évidemment sans silicone, sans sulfates et sans huiles végétales.

La première fois que l'on a testé le shampoing, BoyNumber 1 a kiffé le parfum ! Il trouve que ça a une odeur de bonbon et la session "shampoing-coiffure" se passe super bien. Les produits qu'on utilise depuis près d'un an, de manière régulière, sont le shampoing, l'après-shampoing, le co-wash, le spray démêlant et le baume. On fait un shampoing "profond" tous les 10 jours environ et 1 fois par semaine le co-wash voire plus car il transpire beaucoup de la tête. On a pour habitude d'hydrater légèrement ses cheveux le matin avant d'aller à l'école. Le baume nourrit ses cheveux sans les alourdir. 

C'est une gamme qui convient parfaitement à sa texture de cheveux et qui le lui rend bien. On est pas prêt de changer ! Et vous ? Dîtes-nous qu'est ce que vous utilisez pour les cheveux de vos enfants ?

XOXO






07/04/2020

Et si on parlait de mon dernier allaitement ?

Oui j'insiste sur les mots "derniers allaitement" car c'est mon dernier !
 Comment je vis cet allaitement ? Parfaitement bien ! Comme pour mon premier et en mieux je dirais car mieux armée.
  
J'ai accouché le 28 octobre 2018 à 12h48 en étant arrivée à la maternité vers 8h le matin (mon accouchement a été une nouvelle fois déclenché). Je pensais que comme 4 ans auparavant je serai restée toute la journée en salle de travail à attendre ! Que nenni : vers 10h, on m'a posé la péridurale et un peu plus de 2h après, Babynumber 2 est arrivé ! Emotion, joie, tout ça, tout ça,  puis première tétée avant qu'il file faire du peau à peau avec son papa (merci l'hypothermie).

On me l'a emmené dans ma chambre peu de temps après que je sois sortie de la salle de travail et on a commencé à faire connaissance. Contrairement à mon premier accouchement, l'Amoureux n'a pas pu resté avec nous durant le séjour car il y avait BabyNumber 1 et bien que ce dernier était très bien entouré en famille, je n'avais pas envie qu'il reste seul le soir. J'ai appréhendé ces moments où on allait se retrouver en tête à tête avec Babynumber 2 mais je n'ai rien laissé paraître. Pour ma première grossesse, l'Amoureux est resté avec moi pendant tout le séjour et ça fait du bien d'avoir sa moitié avec soi pour ce début d'aventure incroyable.


En début de soirée, une sage-femme est passée me voir afin de savoir si je voulais garder mon bébé pour la nuit ou si je désirais qu'il soit amené en nursery… Me connaissant vous savez d'ores et déjà que j'ai souhaité garder mon bébé avec moi et qu'on a même dormi tous les 2 dans mon lit ! Oui, oui, je n'ai même pas honte de le dire : je le laissais dans le berceau de la maternité la journée ou quand je faisais ma douche (bien en face de la salle de bain) mais toutes les nuits on dormait "collés serrés" dans mon lit.

Crédit photo : Milequem Diarassouba

Si on en revenait à ma montée de lait ? D'abord qu'est ce qu'une montée de lait et qu'est ce qui l'a fait monter ?
"Quand le bébé est au sein, sa succion provoque la libération par l'hypophyse de deux hormones, l'ocytocine et la prolactine. La prolactine est considérée comme l'hormone de la production du lait. Plus le bébé tète, plus le corps de la mère libère de prolactine et plus les seins produisent du lait."

Ma montée de lait est arrivée très vite et s'est faite en silence : la deuxième nuit, couchés tous les 2, j'ai senti que Babynumber 2 tétait non stop et je sentais que le côté gauche de mon tee-shirt était trempée. Je me suis redressée et je me suis aperçu que c'était mon lait et non plus le colostrum qui sortait de mon sein ! Il était plus que ravi et moi aussi car cette fois-ci je n'ai absolument rien senti ! 

Aujourd'hui notre petit homme vient de faire ses 17 mois et il prend encore le sein.

Concrètement comment cela se passe t-il vu qu'il va en crèche ? Je tire mon lait le matin et le soir pour les 2 jours de crèche où il faut 2 biberons (lundi, mardi), le mercredi je suis off et tire mon lait une à deux fois dans la journée pour le jeudi (où il est gardé par son papa), le jeudi, je tire mon lait le soir (une fois que les enfants dorment) pour le vendredi où il est gardé par ma maman. Il tête quand on rentre le soir (pendant une vingtaine de minutes), puis au moment du coucher. Par contre le mercredi et le week-end c'est open bar et sans aucune restriction ! 

Big changement depuis mi-février car  la crèche m'a informé que mon bébé refusait le biberon de l'après-midi sachant qu'on m'avait déjà demandé de ne fournir qu'un biberon (en janvier) car il mange excellement bien le midi ! Il s'avère qu'il grandit et qu'il aime manger à table avec ses petits copains et qu'il veut manger comme eux. D'un côté j'ai trouvé ça bien et cool pour ne plus avoir à tirer mon lait (ce n'est pas l'expérience la plus agréable que j'ai vécu même si c'est un peu plus doux depuis que j'ai acquis cet appareil), d'un autre côté j'ai été un peu triste car je me suis dit que cet allaitement allait se terminer bientôt...

Et ben pas du tout  ! Depuis que nous sommes en confinement l'enfant tète plus que jamais : beaucoup plus pendant ses siestes (j'ai eu droit dernièrement à 2 heures de tétée non stop), dès qu'il a un chagrin ou mal quelque part (on a eu une phase dernièrement où 50 dents se sont mis à pousser d'un coup et en même temps sinon ce n'est pas drôle), le soir pour s'endormir.

Crédit photo : Missquinette

Je ne sais pas si c'est l'expérience (lol) mais cet allaitement est simple, me plaît et sachant que ce sera la dernière fois, je ne suis pas pressée d'arrêter (sauf quand il tète non stop pendant des heures...).

 Comme pour BabyboyNumber 1, ce sera lui qui donnera le Go pour arrêter. Le fait qu'il mange de tout y compris des yaourts ou un biberon de Blédilait Croissance de lait tous les matins ne change rien à nos habitudes. L'allaitement fait encore partie de notre routine et j'espère encore pendant quelques mois. Je rappelle que j'ai allaité mon aîné 27 mois !

Sinon pour celles qui allaitent ou qui ont envie de le faire : vous allaitez partout ou vous vous limitez ? Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai jamais eu de déconvenues quand j'ai allaité dehors. Je crois avoir allaité partout : train, métro, TGV, avion, parc, Monoprix (dans le rayon des gâteaux pour le plus grand plaisir de mon aîné) en me promenant à l'étranger (portant bébé en écharpe), chez des amis, au restaurant, pendant une exposition et j'en passe encore et encore. Pour nourrir mes enfants, je n'ai aucune restriction et veille (question de pudeur) à ne pas afficher ma poitrine parce que je me connais. Et aujourd'hui de nombreuses marques proposent des vêtements adaptés pour être à l'aise en toutes circonstances.

Surtout faîtes-vous confiance et tout se passera bien, c'est vous qui possédez les armes. En cas de doute, vous avez à votre disposition des conseillères en lactation (sage-femme...) qui sauront vous aiguiller. Demander de l'aide n'est pas un signe de faiblesse mais de courage.

Xoxo & Love